#RACONTETADOULEUR
Du mal de ventre pendant les règles à l’endométriose ou l’adénomyose, des rapports sexuels douloureux au vaginisme et au-delà, notre expérience de la douleur est complexe et reste terriblement sous-estimée. Plus nous partageons nos #histoiresdedouleur, plus nous brisons les tabous et le silence qui nous empêchent d’obtenir l’aide dont nous avons besoin. Dans le cadre de l’initiative Project V, nous prenons des mesures pour lever le voile sur les expériences qu’ont les femmes de la douleur, pour rééquilibrer le rapport à la douleur entre les sexes, histoire après histoire.
L’inégalité face à la douleur
La douleur chez les femmes a toujours été minimisée, considérée comme normale et acceptée comme faisant partie de la condition de femme. En effet, 51 % des femmes et 52 % des hommes s’accordent pour dire que les douleurs menstruelles sont simplement quelque chose que les femmes doivent accepter[1]. La douleur des femmes est trop souvent niée et considérée comme un symptôme d’hypersensibilité, ou d’hystérie. Et c’est encore plus difficile si vous êtes noire, asiatique ou métisse[2]. Sans parler des nombreux stigmates et du manque de compréhension qui empêchent les personnes trans ou non binaires de recevoir des soins adéquats pour traiter la douleur.
Les conséquences peuvent être dévastatrices – biais médical inconscient, manque de recherche, diagnostics erronés chroniques, manque de fonds perpétuel et une culture enracinée de négligence, laissant les femmes non diagnostiquées et non traitées souffrir pendant des années. Mais il ne doit pas nécessairement en être ainsi. Notre douleur, du mal de ventre pendant les règles à l’endométriose, n’est pas normale. Plus nous partageons nos #histoiresdedouleur, plus nous donnons à nos douleurs l’expression qu’elles méritent et donnons du poids à l’exigence de les prendre au sérieux. #racontetadouleur
Ce que nous faisons pour aider
Le Dictionnaire de la Douleur
Le Musée de la Douleur
#racontetadouleur, Partagez vos histoires
Merci à toutes les femmes qui ont partagé leurs histoires avec nous. Si vous souhaitez partager votre histoire et contribuer au Dictionnaire de la #Douleur, nous serions ravis d’entendre votre histoire.
Notre langage
Les préjugés sexistes enracinés empêchent les femmes d’obtenir le traitement qu’elles méritent. Mais les troubles douloureux – les douleurs dans l’utérus, l’endométriose, le vaginisme et au-delà – affectent également les hommes trans et les personnes non binaires. Tout comme les préjugés.
En tant que marque, nos produits s’adressent à toutes les personnes qui en ont besoin, quelle que soit la manière dont elles se perçoivent. Et en termes de langage, nous nous efforçons d’être aussi inclusifs que possible, mais nous sommes conscients qu’il existe de nombreuses perceptions qui ne peuvent pas toutes être exprimées par un langage commun et que nous risquons parfois de ne pas inclure tout le monde. Nous apprenons tous les jours.
Nous avons fait en sorte que notre langage soit aussi inclusif que possible. Certaines des études que nous avons mentionnées ne font pas de distinction basée sur l’identité de genre et l’utilisation du mot « femmes » le reflète.
Nous nous engageons à mettre en avant l’expérience de la douleur de manière multidimensionnelle et continuerons à partager les témoignages de femmes, d’hommes trans et de subscribepersonnes non binaires.